Ces dernières années, le digital a littéralement révolutionné le monde de la communication. La publicité n’a pas échappé à cette fameuse « transformation digitale », qui s’est accompagnée d’une omniprésence des géants du numérique.
En effet, les campagnes publicitaires traditionnelles s’avèrent de moins en moins rentables pour les marques, car les consommateurs les rejettent en les trouvant souvent gênantes, intrusives, voire excessives ou intempestives ! Plus d’un français sur trois a d’ailleurs installé un bloqueur de publicité pour pouvoir naviguer sans intrusion publicitaire : le chiffre est loin d’être anecdotique !
Devant ce déclin croissant de l'efficacité des outils invasifs du marketing sortant, les publicitaires ont cherché à mieux s’adapter à un consommateur désormais hyper-connecté et multicanal. L’inbound marketing, moins invasif, aligné sur les outils numériques, met à la disposition du client une information à forte valeur pour lui, particulièrement pour sa décision d’achat. Et délivre aux entreprises des opportunités business qualifiées.
Ainsi donc, pour exister dans un paysage médiatique saturé où les audiences sont fragmentées et séduire un consommateur de plus en plus sceptique, les marques doivent ajuster leur stratégie de communication pour intégrer des médias digitaux toujours plus nombreux, mais aussi pour publier des contenus engageants.
Et s'il fallait désormais abandonner la logique acquisition-fidélisation pour une logique engagement-recommandation chère à l’inbound marketing ? Quelques éléments de réponse dans ce diaporama.
Ce second chapitre s’inscrit dans le prolongement d’une conférence réalisée par M. Olivier SERRAU, planneur stratégique, en octobre 2021 à l’IUT Nancy Charlemagne. Un très grand merci à lui !
ENJOY !